so pull me closer and kiss me hard (sirius)

Âge & Date de naissance: 3 Novembre 1959, premier enfant d'une  famille de sang pur et toutes les conneries qui vont avec. Seize ans maintenant, bientôt dix-sept, courte vie qui a débuté dans les hôpitaux de Londres.
Nature du sang: Pur, qui a fuit pendant les quelques vacances, à coup d'allez vous faire voir et je préférerais vivre dans la rue que de de franchir de nouveau le pas de cette porte.
Maison: Gryffondor, des affiches rouge et or de partout dans ses chambres, n'importe où, et un gros middle finger à la maison du Serpent.
Année/Poste: Sixième année.

Amortentia: Une douce odeur de chocolat, vieux parchemin et encre, les doux souvenirs.
Patronus ( a partir de la 5ème année ): Chien, la même forme que celle qu'il prend en forme d'animagus, mais brillante de lumière.
Baguette: 38 centimètres, bois d'épicéa, ventricule de dragon.
Epouvantard: Ses amis qui ne le reconnaissent pas, qui lui tournent le dos.
Don/Spécificité: Animagus (chien).
Crédits: (av) kiddressources.

Traits de caractère: arrogant, brillant, courageux, fauteur de troubles, intelligent, loyal, malicieux, sincère, vicieux.

Quelle est la chose que vous préférez à Poudlard ? La présence de ses amis, les passages secrets, foutre la merde et embêter les autres. Sirius, c'est pas l'élève parfait qui prétend préférer les cours et les professeurs. Non, non, foutre la merde, c'est son passe temps favori.

Quel est votre sortilège ou potion de prédilection ? Amato Animo Animato Animagus. Trois ans, les gars, trois ans à la répéter matin et soir.

Des rumeurs courent sur une histoire de vengeance, sombre, pour faire peur aux nouveaux sorciers. Mais vous, qu'en pensez vous ? Venez, on fait plus de recherches et on essaye de comprendre si c'est vrai, mais on l'écoute pas vraiment, chez les Maraudeurs. Eux ? Faire des recherches ? Oui, bon, c'est pas un groupe de quatre Remus, c'est assez rare.

one. La vie à la maison, ça n’a jamais été facile. Premier né de Walburga et Orion Black, Sirius avait toujours tout les espoirs de papa et maman sur les épaules. C’était l’héritier, celui qui se devait de continuer leur lignée, avec un sang d’une pureté immaculée, avec une douce sang-pur, élitiste si possible, qu’ils ne lui ont jamais donnée, pas de nom, ni de visage, juste une future femme dont il ne voulait pas, jamais. two. Regulus, c’était l’amour de Sirius. Là où Orion et Walburga ne lui ont jamais donné d’amour eux-même, Sirius se penchait au dessus du lit pour lui lire des histoires, l’aider à s’endormir, un bisou, un câlin avant chaque nuit, chaque sieste, et des promesses qu’il ne tiendra pas. De je ne partirais jamais, je ne t’abandonnerais pas, c’est toi et moi contre le monde. three. Et puis un jour, Sirius a rencontré ce Potter, James. Famille de sang pur, papa et maman ne pouvaient être plus fiers. Jusqu’au moment où il est rentré, avec comme annonce qu’il était un gryffondor, que James également, qu’il aimait beaucoup ça. Quelques affiches rouge et or collées par enchantement aux murs, Orion et Walburga qui hurlent en essayant de les enlever, qui lui demandent, quémandent qu’il ne le voit plus, Potter, et Sirius qui se fiche de leurs mots. four. Plus d’une fois, Sirius a essuyé les remarques, les critiques et injures sur ses amis. Ce fut seulement quand le préjudice que portait ses parents commença à déteindre sur Regulus qu’il comprit que ce n’était pas qu’une petite haine dont il voyait tout les angles. Alors, il a commencé à se dire qu’il se devait de se foutre de ce que ses parents pensaient, et a commencé à se décaler un peu plus de leur façon de l’élever. five. Pourtant, haine familiale oblige, après chaque repas, chaque fois durant chaque vacance, Sirius s’enfermait dans sa chambre, à en fermer les yeux, allumer de la musique dans ses oreilles, un son trop fort pour qu’il ne les entende plus, à prier quelqu’un en qui il ne croyait pas, ou plus, pour que ça change. Que papa, que maman, que Regulus, même, comprennent que c’était ridicule, que ça ne faisait aucun sens, pour qu’ils arrêtent. six. Entre temps, Sirius a trouvé sa lune bleue, l’astre qu’il peut regarder sans ne jamais se lasser dans l’un de ses amis. Réalisation après plusieurs petites amies qui n’ont pas marché, réalisation après l’avoir regardé pendant de longues minutes sans se lasser, après l’avoir écouté déblatérer des informations trop intelligentes à son goût qu’il ne comprenait pas, après s’être réveillé de rêves trop doux, trop profonds dans lesquels il pouvait lui tenir la main, sans se cacher sous la table, sans attendre d’être entièrement seuls. seven. En deuxième année, Sirius et James se sont décidés à trouver une solution pour rendre les pleines lunes de Remus moins douloureuses. En se rendant compte que ça ne fonctionnerait pas, c’en a été une toute autre chose. « Dites, McGogo, potentiellement, peut-être, éventuellement, comment est-ce qu’un sorcier potentiel pourrait potentiellement faire dans un univers parallèle pour devenir, éventuellement, un potentiel animagus ? » Question de Sirius, avec une réponse très franche, qui les a beaucoup aidé, et un chuchotement trop fort en partant, dis, Potter, t’as la cape ? eight. Pour les quelques longues heures de colles, nécessaires pour l’aide de McGonagall pour devenir animagus, ils ont trouvé une excuse, pour Remus. J’essaye d’avoir un rendez-vous, qu’il a dit, Sirius, parce que c’était la seule possibilité qui sonnait correcte. Pour pousser ça un peu plus loin, d’ailleurs, il lui a demandé une danse, à Minerva, au bal de Noël. Une, deux longues heures avant qu’il n’attrape la main de son ami, le loup-garou. Un viens, on va dehors, trop de lumière, trop de gens, on va danser seuls. Moment privilégié entre eux deux, et un doux baiser, rapide, sur ses lèvres, en plein Décembre, peut-être un des premiers. nine. Seize ans, fin d’année, Sirius est rentré chez lui. Les engueulades, les injures et critiques qui reprennent, qui deviennent de pire en pire, et un coup un peu trop fort qui le fait réaliser : ça ne changera pas. Alors, Sirius, il a balancé ses affaires de Poudlard, les quelques livres et chaudrons, sur le sol de sa chambre. Quelques fringues entassées dans sa valise, qu’il choppe à la main, enroule son échappe rouge et or autour de son cou. Si tu franchis cette porte, ne reviens pas. Alors, il la regarde, Walburga, Sirius. Il a regarde une bonne dizaine de seconde, avant que ses pieds ne franchissent le pas de la porte, que sa main attrape la poignée, et que le claquement résonne dans la maison entière. Le tout, dans un silence d’indifférence assourdissant. ten. C’est chez James, chez les Potter qu’il est parti vivre. Perdu entre la gentillesse et le manque de cris, à quel point les Potter sont adorables, et à quel point il ne veut plus partir. Fleamont et Euphemia, ils lui disent honnêtement. C’est comme un fils, et ses parents à lui ? Ils n’ont jamais, jamais agis comme des parents. Peut-être que de lui montrer ce qu’est une famille, ça lui montrera, au fond, qu’il n’a rien perdu.