(orcus) you look so horrified

Âge & Date de naissance: Né un 23 juillet ensoleillé non loin de Londres, t'es pas bien vieux du haut de tes quinze ans.
Nature du sang: De Sang-Mêlé, comme ton père. Il est facile pour toi de nier le fait que ta mère soit une cracmol, elle n’a jamais compté pour toi.
Maison : Aucune surprise de ton côté lorsqu’il fut temps pour toi de rejoindre la maison à l’emblème du serpent.
Année/Poste: Cinquième année ainsi que batteur dans l’équipe de Quidditch de ta maison.

Amortentia: Une douce odeur de bois, des gardénias de ton jardin avec une légère odeur de peinture fraîche.
Patronus: Pour des raisons obscures que t’ignores, tu ne parviens pas à lancer de Patronus, corporel ou non.
Baguette: Bois de frêne, un cœur de ventricule de dragon, une longueur de trente-quatre centimètres et une rigidité assez étonnante.
Epouvantard: Un loup, grand, imposant, et aux dents acérées.
Don/Spécificité: Tu ne possèdes aucun don et tu n’es pour le moment pas intéressé par l’apprentissage d’une capacité particulière.
Crédits: gin

Traits de caractère: Rusé, ambitieux, arrogant, réfléchi, brave, débrouillard, soigné, perfectionniste, lunatique, orgueilleux, sociable, suffisant, borné, rancunier, mesquin, altruiste

Quel est la chose que vous préférez à Poudlard ? Ce fameux terrain de Quidditch, endroit où tu peux te dépenser et momentanément oublier les potentiels soucis qu’il t’arrive d’avoir.

Quel est votre sortilège ou potion de prédilection ? Silencio. Qu’est-ce que tu meures d’envie de le lancer à certains autour de toi pour les faire taire et calmer tes migraines récurrentes.

Des rumeurs courent sur une histoire de vengeance, sombre, pour faire peur aux nouveaux sorciers. Mais vous, qu'en pensez-vous ? Honnêtement, tu y crois plus ou moins. Mais ça ne t’effraie pas pour autant, vraiment pas. Ca t’intrigue et tu aimerais bien en savoir plus, et peut-être bien qu’un jour tu t’y intéresseras d’encore plus prêt et que t’essaieras d’éclaircir ce mystère. Mais ce n’est pas encore le cas aujourd’hui.

I. Enfant unique depuis ta naissance, tu n’as pas connu ta mère longtemps. Tes parents se séparent peu de temps après ta naissance et elle préfère quitter le pays en laissant ton père s’occuper de toi. II. Choyé, gâté, tu n’as jamais manqué de quoi que ce soit. Crainte de la part de ton paternel que tu ne sois pas totalement heureux, il a toujours su t’apporter l’attention et l’affection dont tu avais besoin. III. T’as souvent dépassé les limites. Enfant capricieux et demandeur, t’as souvent profité de la gentillesse de ton père pour obtenir ce que tu souhaitais. Tu regrettes un peu aujourd’hui. IV. Ton premier signe de magie arriva durant un de ces caprices. T’avais repéré un chaton dehors, perdu, et tu n’avais trouvé aucune trace de sa mère et de la possible portée qui allait avec. Ton père n’avait pas voulu que vous ne le gardiez, jusqu’à ce que tu ne cries suffisamment fort pour éclater toutes les fenêtres de votre maison. Partagé entre l’envie de te punir suite aux coûts engendrés par cette stupide crise et l’admiration qu’il avait pour avoir assisté à ton premier signe de magie, ton paternel abandonna et te laissa garder le chaton. Petite boule de poils répondant au doux nom de Cadbury, que tu as toujours à tes côtés aujourd’hui. V. T’as toujours voulu aller à Serpentard. Comme ton père, ton modèle, ton idole. Oubliator au ministère, t’as d’abord eu comme ambition de faire comme lui, plus tard. Ravi d’avoir été envoyé dans la maison que tu souhaitais, ta volonté de rendre ton père fier de toi ne faisait que grandir. VI. Détermination qui t’animait, dès que t’as pu tu t’es tenté à rejoindre l’équipe de Quidditch de Serpentard. Avec succès. Tout ce que tu voulais, c’était en faire le plus possible. Faire de telle manière à ce qu’il puisse être fier, qu’il puisse continuer de n’avoir aucune hésitation à t’offrir tout ce que tu demandais. Tu apprécies pour le moment grandement ta scolarité, n'ayant pas eu de mal à te faire des amis de la même maison. Tout se passe au mieux dans ta vie, tellement que t'aurais pu t'attendre à ce que quelque chose ne dérape un jour. VII. Tu commences à t’intéresser à la magie noire plutôt tôt. Tu n’as que douze ans, tu tombes sur un livre dans le bureau de ton père. Tu n’y comprends pas tout, tu ne comprends que le fait que ton père ne possède pas qu’un livre du genre dont le contenue concerne une forme de magie trop inconnue et inadaptée aux connaissances d’un jeune homme de ton âge. Mais ça t’intéresse, et tu reviendras à ce genre de lectures plus tard dans ta vie. VIII. Tu te souviens de l’été 1974 comme si c’était hier. A l’approche de ton anniversaire, vous aviez ton père et toi tous deux eu la surprise de recevoir la visite d’une personne que tu n’aurais jamais cru voir. Quelqu’un que tu n’avais même pas reconnu car tu étais trop jeune la dernière fois que tu l’avais vue, ta mère. Tu ne savais pas ce qui l’avait amené ici, pourquoi elle s’était réveillée pour venir te voir à la veille de ton treizième anniversaire. Tu n’as pas eu l’occasion d’en savoir plus, ton père t’ayant demandé de regagner ta chambre à l’approche de cette inconnue. Tu n’as rien entendu, rien su. IX. L’arrestation de ton père n’avait aucun sens à tes yeux. Tu ne pouvais pas croire que ton père soit accusé d’un meurtre. La disparition soudaine de ta mère ? Une coïncidence. Les preuves trouvées sur votre véranda ? Une coïncidence. Mais les aveux de ton père ? Tu ne pouvais pas te résoudre à y croire. Il aurait fait ça pour te protéger. Pour qu’elle ne décide pas de revenir dans ta vie alors qu’elle ne t’apporterait rien de bon. Mais ces justifications ne suffirent pas à lui éviter la prison. T'as plus pu avoir de contact avec lui, plus rien. T’étais bouleversé. X. T’as du aller vivre chez ton oncle. Tu le connaissais déjà, étant déjà allé chez lui en vacances aux côtés de ton père, mais pas suffisamment pour ne pas que tu te sentes suffisamment heureux ici. C’est à ce moment là que t’as commencé à ne plus rentrer pour les vacances, que t’as commencé à rester à l’école pour ne plus avoir à ressentir cette sensation de vide quand t’es pas focalisé sur tes études ou le Quidditch. XI. T’es devenu plus distant, à cette époque-là. Moins bavard, moins ouvert. Plus irritable et moins agréable. Sujet à de plus en plus de migraines qui te rendent de mauvaise humeur. Avec tes amis proches, t’étais majoritairement le même. Mais rares sont les personnes qui peuvent aujourd’hui avoir le luxe d’être dans tes bonnes grâces, parce que tu as de plus en plus tendance à te dire que plus rien n’a d’importance et que te faire des amis ne te mènera à rien. C’est une situation compliquée dont tu finiras par te sortir, un jour ou l’autre. Du moins tu l’espères. Parce que tu n’es pas heureux, comme ça. XII. Tu étais bon élève, jusqu’à cet événement. Un très bon élève qui réussissait sans soucis la plupart de ses cours. Mais l’année précédente ne fut pas glorieuse et, à l’approche de tes BUSEs, tu peines de plus en plus à te concentrer. A trouver une importance suffisante à tes cours pour que tu ne te concentres réellement dessus. Il faut que tu trouves une solution, avant de ne totalement mettre en péril ta scolarité. XIII. Pour le moment, tu ne veux qu’une chose. Exprimer cette haine et frustration qui t’animent depuis l’arrestation du seul réel modèle que tu avais dans ta vie. Tu y parviendras, tu le sais. Si tu dois t’attirer des ennuis pour ça, tu le feras. Tu n’es plus à ça près. XIV. Tu ne parviens pas à comprendre pourquoi, mais tu fais de plus en plus de cauchemars. Tu dors peu, t'es fatigué et ça ne fait qu'accentuer tes migraines. T'as pas encore cherché de solution à ce problème, ça n'en fait qu'un de plus qui s'accumule à tous les autres et ne fait que te résigner un peu plus à l'idée que la situation ne s'arrange réellement un beau jour.